Les bâtiments

Au nombre de quatre les bâtiments sont visibles sur la photo ci-dessous.
Il y a trois "tunnels" - au premier plan - et une ancienne grange creusoise traditionnelle.

Batiments d exploit

1 - Le tunnel le plus à gauche – implantée sur la prairie temporaire – sert au stockage des fourrages.

 

2 - La maternité – au milieu et en longueur sur la photo – comporte 120 places. C'est là que chacun de mes deux lots d'une centaine de brebis vient pour agneler. Le toit est isolé avec de la laine de verre.

3 - Le petit tunnel à droite héberge les agneaux après leur sevrage à soixante-dix jours. Ils y passent en moyenne trois mois.

 Les 2 tunnels

La photo ci-contre permet
de mieux voir ces deux tunnels
 qui sont les deux bâtiments
les plus importants de l'exploitation :

à gauche la maternité,
à droite le tunnel pour les agneaux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

4 - La grange a été complètement transformée par mes soins pour y héberger le lot de brebis qui n'est pas dans la maternité pendant l'hiver.
Elles sont réparties en deux lots sur deux aires paillées.

Grange hivern 1

oui, oui, j'ai bien remarqué les yeux fluorescents de mes brebis...
c'est parce que j'ai dû activer la fonction "supprimer les yeux rouges" à cause de la "beu" qu'elles consomment abondamment, et voilà le résultat !
 

Les béliers passent eux aussi l'hiver dans ce bâtiment, au milieu des brebis, pour "préparer les naissances" du printemps.

Chaque visite de surveillance que je fais – tout particulièrement après la rentrée – me rappelle qu'on utilise le mot "lutte" pour qualifier la période de reproduction.
Je m'en tiens là, pour ne pas tomber dans le voyeurisme et ne pas dévoiler leurs secrets d'alcôve.

J'ajouterai juste qu'après plusieurs années de vie commune, il s'établit des préférences entre les brebis et les béliers et que le jour des "retrouvailles", certaines brebis se dirigent vers leur favorit, mêêê... je dis ça, je ne dis rien.

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Commentaires

  • GUERCINI Lydia
    • 1. GUERCINI Lydia Le 07/11/2017
    Bonjour
    Très sympa cette malade au milieu de vos prairies et votre troupeau.
    Vous aimez vos bêtes.
    En Italie je me rappelle avoir croisé une bergère qui s'occupait de ses quelques vaches : comme vous, chacune avait son petit nom et sa personnalité.
    J'ai adoré les croiser un jour, comme j'adorerais surement rencontrer un jour cette belle exploitation.
    Peut être pourrais je un jour, et en attendant, toutes mes félicitations pour ce beau travail

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